Les virus ont-ils une conscience ?
Voilà la question à laquelle nous nous attèleront tout au long de cet article. Par ailleurs, gardons-nous de ne jamais perdre de vue que cette réflexion est d’une complexité telle qu’elle peut entrainer nombre de désagréments et pas des moindres (addiction). C’est pourquoi nous recommanderons toute la prudence nécessaire même pour la lire du bout des yeux.
Dans l’univers médiatique et nous parlons bien d’univers et non pas de microcosme, chaque dérapage des faiseurs et défaiseurs d’opinion sera contrebalancée par une logique destructrice, les méfaits du « camp d’en face » étant jugés très certainement plus répréhensibles encore aux yeux d'un téléspectateur moyen, très moyen, quidams adeptes de sensationnalisme dont des séries à rallonge. Chaque fait et geste « du camp d’en face » trouvera, côté faiseurs et défaiseurs d’opinion, sa justification dans l’argument « ils ne sont pas gérables » ou ce sont des terroristes voir même, comble de l’ignominie « des sauvages ». C’est là, depuis toujours, le procédé utilisé par tous les s....... souvent acculés car démasqués bénéficiant cependant d’une immunité à peine croyable. (Dans la vraie vie : souvenons-nous des pétainistes collabos, des arguments d’un Papon jetant des musulmans dans la Seine et d’autres encore), et c’est aussi dans toute cette fiction, un procédé perfide qui permet de s’acheter une bonne conscience et de l’afficher auprès d’un public constitué de pauvres bougres qui n’ont pas idée de ce que les médias de masse nous servent à longueur de journée.
Aux scénaristes autorisés de cette cabale d’état voir même internationale et même s’il est un peu trop tard pour redresser le cap, on leur conseillera vivement d’aller se ressourcer auprès d’un Naso militant : un intellectuel qui a toujours su que le patriotisme médiatique voir même politique est souvent le refuge des pires crapules, et plus encore, lorsque ce patriotisme à l’instar d’un parasite vit et prospère sur le dos de la justice et du droit des individus à disposer d’eux-mêmes.
Au service d’une logique pompier-pyromane directement responsable de bien des maux de la société voir du monde, ou bien en tant que sous-traitant, ou bien encore complice, notamment de la cabale islamophobe, les faiseurs et défaiseurs d’opinion en question ont dû violer, n’en doutons pas un seul instant, toutes les lois nationales voir internationales, toutes les règles les plus élémentaires de la démocratie ainsi que toutes les principes élémentaires (comme... respecter la dignité humaine des minorités). Au nom d’un intérêt supérieur qui nous échappe (mais pas vraiment) les véritables « patrons » de notre système décadent classe politique, médiatique et télé visuel inclus; sans oublier le nettoyage des consciences de tout esprit critique et autres turpitudes ainsi distillées par cette même engeance, tout sera mis en place pour bénéficier d’une immunité à tout épreuve là où les dérapages mineures des minorités ainsi seront compulsivement majorées. C’est la mère Michelle qui a perdu son chat. Car, comme chacun sait, les minorités de France ou d’ailleurs, ça ne compte pas sauf lorsqu’il s’agit des les manipuler voir même les marchandiser! La flagellation est ici justifiée presque recommander.
Grand Jeu pour petits joueurs, islamisme en veux-tu-en-voilà, djihadisme itou... opération écran de fumée à l'image des politiques qui camouflent leurs agissements peu recommandables. On n'ose imaginer si tout ce qu’ils racontent avec force de conviction montée de toute pièce était vrai. Dans cette logique infernale issue de la nuit des temps et adoptant la logique du virus inoffensif (voir bénéfique) cependant virulent, tout dérapage y compris les plus anodins sera majorée à grand renfort de verbe haut perché et souvent alarmiste voir même catastrophiste.
Cette surenchère sera ainsi déployée sur toutes les chaines et honni soit celui qui ne fera pas sienne cette logique destructrice. Ici le klu Klux Klan apparaitra comme un enfant de cœur presque un angelot. La surenchère ainsi adoptée sera en quelque sorte minimisée par un acte commis par « le camp d’en face » jugé très certainement plus répréhensible encore aux yeux d'un téléspectateur moyen, très moyen. Chaque surenchère trouvera, côté intrus, sa justification dans l’argument « d’un mal pour un bien ». C’est là, depuis toujours, le procédé utilisé par tous les grands criminels acculés car démasqués. Et c’est aussi dans toute fiction dévastatrice, un procédé perfide qui permettra de s’acheter une bonne conscience et de l’afficher auprès d’un public constitué de pauvres bougres ignares qui n’auront pas idée des dessous de cette cabale car abrutis par des décennies de propagande anti-arabe, anti maghrébine anti-musulmane mais en revanche, nous seront étouffé de propagande pro-moralisatrice dans la grande tradition de ce que les médias de masse nous serviront à longueur de journée.
Les virus ont-ils une conscience ?
Voilà la question à laquelle nous nous attèleront tout au long de cet article. Par ailleurs, gardons-nous de ne jamais perdre de vue que cette réflexion est d’une complexité telle qu’elle peut entrainer nombre de désagréments et pas des moindres (addiction). C’est pourquoi nous recommanderons toute la prudence nécessaire même pour la lire du bout des yeux.
Dans l’univers médiatique et nous parlons bien d’univers et non pas de microcosme, chaque dérapage des faiseurs et défaiseurs d’opinion sera contrebalancée par une logique destructrice, les méfaits du « camp d’en face » étant jugés très certainement plus répréhensibles encore aux yeux d'un téléspectateur moyen, très moyen, quidams adeptes de sensationnalisme dont des séries à rallonge. Chaque fait et geste « du camp d’en face » trouvera, côté faiseurs et défaiseurs d’opinion, sa justification dans l’argument « ils ne sont pas gérables » ou ce sont des terroristes voir même, comble de l’ignominie « des sauvages ». C’est là, depuis toujours, le procédé utilisé par tous les s....... souvent acculés car démasqués bénéficiant cependant d’une immunité à peine croyable. (Dans la vraie vie : souvenons-nous des pétainistes collabos, des arguments d’un Papon jetant des musulmans dans la Seine et d’autres encore), et c’est aussi dans toute cette fiction, un procédé perfide qui permet de s’acheter une bonne conscience et de l’afficher auprès d’un public constitué de pauvres bougres qui n’ont pas idée de ce que les médias de masse nous servent à longueur de journée.
Aux scénaristes autorisés de cette cabale d’état voir même internationale et même s’il est un peu trop tard pour redresser le cap, on leur conseillera vivement d’aller se ressourcer auprès d’un Naso militant : un intellectuel qui a toujours su que le patriotisme médiatique voir même politique est souvent le refuge des pires crapules, et plus encore, lorsque ce patriotisme à l’instar d’un parasite vit et prospère sur le dos de la justice et du droit des individus à disposer d’eux-mêmes.
Au service d’une logique pompier-pyromane directement responsable de bien des maux de la société voir du monde, ou bien en tant que sous-traitant, ou bien encore complice, notamment de la cabale islamophobe, les faiseurs et défaiseurs d’opinion en question ont dû violer, n’en doutons pas un seul instant, toutes les lois nationales voir internationales, toutes les règles les plus élémentaires de la démocratie ainsi que toutes les principes élémentaires (comme... respecter la dignité humaine des minorités). Au nom d’un intérêt supérieur qui nous échappe (mais pas vraiment) les véritables « patrons » de notre système décadent classe politique, médiatique et télé visuel inclus; sans oublier le nettoyage des consciences de tout esprit critique et autres turpitudes ainsi distillées par cette même engeance, tout sera mis en place pour bénéficier d’une immunité à tout épreuve là où les dérapages mineures des minorités ainsi seront compulsivement majorées. C’est la mère Michelle qui a perdu son chat. Car, comme chacun sait, les minorités de France ou d’ailleurs, ça ne compte pas sauf lorsqu’il s’agit des les manipuler voir même les marchandiser! La flagellation est ici justifiée presque recommander.
Grand Jeu pour petits joueurs, islamisme en veux-tu-en-voilà, djihadisme itou... opération écran de fumée à l'image des politiques qui camouflent leurs agissements peu recommandables. On n'ose imaginer si tout ce qu’ils racontent avec force de conviction montée de toute pièce était vrai. Dans cette logique infernale issue de la nuit des temps et adoptant la logique du virus inoffensif (voir bénéfique) cependant virulent, tout dérapage y compris les plus anodins sera majorée à grand renfort de verbe haut perché et souvent alarmiste voir même catastrophiste.
Cette surenchère sera ainsi déployée sur toutes les chaines et honni soit celui qui ne fera pas sienne cette logique destructrice. Ici le klu Klux Klan apparaitra comme un enfant de cœur presque un angelot. La surenchère ainsi adoptée sera en quelque sorte minimisée par un acte commis par « le camp d’en face » jugé très certainement plus répréhensible encore aux yeux d'un téléspectateur moyen, très moyen. Chaque surenchère trouvera, côté intrus, sa justification dans l’argument « d’un mal pour un bien ». C’est là, depuis toujours, le procédé utilisé par tous les grands criminels acculés car démasqués. Et c’est aussi dans toute fiction dévastatrice, un procédé perfide qui permettra de s’acheter une bonne conscience et de l’afficher auprès d’un public constitué de pauvres bougres ignares qui n’auront pas idée car abrutis par des décennies de propagande anti-arabe, anti maghrébine anti-musulmane mais en revanche, nous seront étouffé de propagande pro-moralisatrice dans la grande tradition de ce que les médias de masse nous serviront à longueur de journée.