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Des faux semblants et de l'islamophobie

Publié le 6 Octobre 2018 par Nasser Adjissa

Les références actuelles mobilisées par les adeptes racisme  acceptable somme    des gens de « bonne famille »   tiennent en quelques noms : Faurisson, Le Pen,  Morano, Wauquiez , Zemmour etc. Or, cette mise en icône s’opère par une ignorance volontaire des centaines de  milliers d’autres noms asiatiques, africains et musulmans, et que les faits ont pourtant consignés avec détails. Aussi, l’énorme distance entre la vérité objective et celle manipulée dans les milieux de pouvoir nous obligerait à alourdir notre propos de corrections permanentes et lourdes. C’est pourquoi, nous nous proposons ci-après de visiter les arcanes de ce discours tel qu’il se donne à entendre.

Le rôle du « Grand Satan » dans le discours racialiste.

Tenu de se référer au « grand Satan» pour étoffer les moindres aspects de leur vie aussi incendiaires soient-ils, les adeptes du racisme de  salon ont besoin de se constituer une tablature d’injonctions souvent articulées d’une manière manichéenne, de type « grand remplacement vs. Déportation ». Ils sont  alors conduit à se référer à tout propos à leurs maîtres à penser pour la conduite « d’une logique » apparemment objective traitant de leurs affaires religieuses, politiques, sociales et même privées. Ils tiendront pour règle irréfragable l’obéissance absolue à leurs injonctions incendiaires.

Le désir de s’inscrire dans le sillage des véritables intellectuels qu’ils soient hommes de lettre, de télé ou politiques correspond autant à la recherche d’une inauthenticité née de la combinaison de faux semblants et d’une relecture anhistorique et décontextualisée de la réalité.    Falsification éhontée que ne renierait pas Jean Marie Le Pen au meilleur de sa forme. La proximité intellectuelle ou virtuelle avec les pires racistes qui soient cependant sans les nommer  « Goebbels, Hitler, Paul Rassinier, Maurice Bardèche, RobertFaurisson  tiendra alors lieu de référence unique et suffisante à une époque mythifiée où les musulmans avaient encore une pratique fidèle et « pure » de leur culte, d’où le leitmotiv galvaudé des injonctions, ils doivent partir,, " Pourquoi existent-ils? Ils    ne devraient pas faire ceci, ni cela ; pas comme ceci,  ni comme cela, Ils ne devraient pas! On ne les veut plus, ils doivent disparaître. Avec comme  implicite ils sont une race biologiquement inférieure et, en vertu d'un darwinisme opérant, il faut « aider » la sélection naturelle en les déportant. Toute la dialectique nazi va se trouver implicitement sous-entendu avec des accents d’objectivité et de modernisme. Sur une base  pseudo objective, il est même possible de franchir un troisième degré au sémantisme du terme grand remplacement en changeant sa vocalisation : le terme d’extermination désignant un terme                                                  civilisationnel les musulmans étant sous-entendus comme des français indignes et corrupteurs du legs de la république. En terme rituel, à chaque fois que les partisans de la             déportation   entreront en contact avec un musulman, érudit ils feront tout pour dévoyer le contexte, par une pirouette dans la falsification et qui de faire valoir la logique de sapiences venues des éminences du IIIème Reich.

Le portique d’entrée en la matière sera ici l’islamophobie que l’on servira à toutes les sauces notamment les plus insanes.  En cet endroit, l’icône du racisme hertzien de bon augure somme toute un racisme entre gens comme il faut sera le triste personnage pour ne pas dire la raclure Eric Zemmour.  Il faut néanmoins rappeler qu’au départ son éminence l’archevêque du racisme   toléré Eric Zemmour dit l’olive verte de haine                                            ne sera connu que par ses positions controversées (mais pas plus) sur L’Islam  Il sera néanmoins le fondateur d’une école de pensée où tout ce qui ne pourrait être dit de façon explicite le sera de façon implicite. Les rats ne pointent que le bout de leurs nez.

Le racisme« intellectualisé» et la négation de l’autre.

Eric Zemmour, Alain Finkielkraut, Bernard Henry Levy, Elisabeth Chemla et sans le reste  représenteront donc un courant de pensée très scrupuleux à la détestation prise dans son sens le plus implicite : « comment haïr tout en se montrant comme l’émissaire du savoir vivre. Ici l’obsessionnel empruntera les sentiers  de la normalité et de la bienséance. Que croire, que faire, comment se comporter vis-à-vis de ces notoriétés,  de ces  infâmes créatures qui polluent l’onde pure de la république ? ». Tu les dénonces et on  te qualifiera dare dare  « d’antisémite ». Tu te tais et         tu feras proliférer « l’antisémitisme » par réaction et donc par indignation. Les disciples de la droite (Wauquiez , Morano  voir de la gauche Manuel Valls) disciples attitrés des non-dits eux-mêmes fortement imprégnés par le racisme tout en le considérant de manière très ambigüe, tantôt le critiquant  tantôt le faisant leur.

 

Le  problème chez ces oiseaux de mauvais augure pour ne pas parler de double face  comme Eric Zemmour est qu’ils seront d’un côté très sensibles au racisme antijuifs et de l’autre adeptes inconditionnels du racisme antimusulman.  En cet endroit, les formes d’expressions ésotériques ou métaphysiques seront adoptés sans état d’âme.                           

Avec la montée en puissance et la normalisation de l’islamophobie le statut d’intellectuel référent voir de référence incontournable  évoluera dans un sens d’autant plus dramatique que de l’autre coté les racistes assumés rajouteront une couche à la couche.  Ce genre de marqueur historique parmi bien d’autres constituera la profondeur contextuelle hantée d’antagonismes et de rivalités dans laquelle vivront dans une  entente cordiale racistes assumés et racistes louvoyant. Il n’est donc pas scientifiquement aisé de dresser la liste des adversaires et contempteurs possibles tant que la question ne sera pas plus finement posée. Le discours zemmourien par ignorance feinte ou avérée, ne sera pas en quête de précisions sur ce registre, bien au contraire. En désignant un ennemi de la république voir même sans exagéré de la chrétiennété qui plus est de la   judaïté occupé à en saper                                      toutes références acceptables, plus l’identité de L’Islam sera vague, plus son hostilité pourra être stigmatisée et honnie aux oreilles des masses. Or, ce que retiendront les chrétiens ce sera l’image sévère et nécessairement réductrice que représentera à leurs yeux la religion musulmane.

Les raisons de cet ombrage et de cette mise en arrière-plan est que L’Islam sera mangé à toutes les  sauces faisant oublier que ce sera L’Occident qui sera l’agresseur et L’Islam la victime. Fin de citation.

Les références actuelles mobilisées par les adeptes racisme  acceptable somme    des gens de « bonne famille »   tiennent en quelques noms : Faurisson, Le Pen,  Morano, Wauquiez , Zemmour etc. Or, cette mise en icône s’opère par une ignorance volontaire des centaines de  milliers d’autres noms asiatiques, africains et musulmans, et que les faits ont pourtant consignés avec détails. Aussi, l’énorme distance entre la vérité objective et celle manipulée dans les milieux de pouvoir nous obligerait à alourdir notre propos de corrections permanentes et lourdes. C’est pourquoi, nous nous proposons ci-après de visiter les arcanes de ce discours tel qu’il se donne à entendre.

Le rôle du « Grand Satan » dans le discours racialiste.

Tenu de se référer au « grand Satan» pour étoffer les moindres aspects de leur vie aussi incendiaires soient-ils, les adeptes du racisme de  salon ont besoin de se constituer une tablature d’injonctions souvent articulées d’une manière manichéenne, de type « grand remplacement vs. Déportation ». Ils sont  alors conduit à se référer à tout propos à leurs maîtres à penser pour la conduite « d’une logique » apparemment objective traitant de leurs affaires religieuses, politiques, sociales et même privées. Ils tiendront pour règle irréfragable l’obéissance absolue à leurs injonctions incendiaires.

Le désir de s’inscrire dans le sillage des véritables intellectuels qu’ils soient hommes de lettre, de télé ou politiques correspond autant à la recherche d’une inauthenticité née de la combinaison de faux semblants et d’une relecture anhistorique et décontextualisée de la réalité.    Falsification éhontée que ne renierait pas Jean Marie Le Pen au meilleur de sa forme. La proximité intellectuelle ou virtuelle avec les pires racistes qui soient cependant sans les nommer  « Goebbels, Hitler, Paul Rassinier, Maurice Bardèche, RobertFaurisson  tiendra alors lieu de référence unique et suffisante à une époque mythifiée où les musulmans avaient encore une pratique fidèle et « pure » de leur culte, d’où le leitmotiv galvaudé des injonctions, ils doivent partir,, " Pourquoi existent-ils? Ils    ne devraient pas faire ceci, ni cela ; pas comme ceci,  ni comme cela, Ils ne devraient pas! On ne les veut plus, ils doivent disparaître. Avec comme  implicite ils sont une race biologiquement inférieure et, en vertu d'un darwinisme opérant, il faut « aider » la sélection naturelle en les déportant. Toute la dialectique nazi va se trouver implicitement sous-entendu avec des accents d’objectivité et de modernisme. Sur une base  pseudo objective, il est même possible de franchir un troisième degré au sémantisme du terme grand remplacement en changeant sa vocalisation : le terme d’extermination désignant un terme      civilisationnel les musulmans étant sous-entendus comme des français Indignes et corrupteurs du legs de la république. En terme rituel, à chaque fois que les partisans de la             déportation   entreront en contact avec un musulman, érudit ils feront tout pour dévoyer le contexte, par une pirouette dans la falsification et qui de faire valoir la logique de sapiences venues des éminences du IIIème Reich.

Le portique d’entrée en la matière sera ici l’islamophobie que l’on servira à toutes les sauces notamment les plus insanes.  En cet endroit, l’icône du racisme hertzien de bon augure somme toute un racisme entre gens comme il faut sera le triste personnage pour ne pas dire la raclure Eric Zemmour.  Il faut néanmoins rappeler qu’au départ son éminence l’archevêque du racisme   toléré Eric Zemmour dit l’olive verte de haine                                            ne sera connu que par ses positions controversées (mais pas plus) sur L’Islam  Il sera néanmoins le fondateur d’une école de pensée où tout ce qui ne pourrait être dit de façon explicite le sera de façon implicite. Les rats ne pointent que le bout de leurs nez.

Le racisme« intellectualisé» et la négation de l’autre.

Eric Zemmour, Alain Finkielkraut, Bernard Henry Levy, Elisabeth Chemla et sans le reste  représenteront donc un courant de pensée très scrupuleux à la détestation prise dans son sens le plus implicite : « comment haïr tout en se montrant comme l’émissaire du savoir vivre. Ici l’obsessionnel empruntera les sentiers  de la normalité et de la bienséance. Que croire, que faire, comment se comporter vis-à-vis de ces notoriétés,  de ces  infâmes créatures qui polluent l’onde pure de la république ? ». Tu les dénonces et on  te qualifiera dare dare  « d’antisémite ». Tu te tais et         tu feras proliférer « l’antisémitisme » par réaction et donc par indignation. Les disciples de la droite (Wauquiez , Morano  voir de la gauche Manuel Valls) disciples attitrés des non-dits eux-mêmes fortement imprégnés par le racisme tout en le considérant de manière très ambigüe, tantôt le critiquant  tantôt le faisant leur.

 

Le  problème chez ces oiseaux de mauvais augure pour ne pas parler de double face  comme Eric Zemmour est qu’ils seront d’un côté très sensibles au racisme antijuifs et de l’autre adeptes inconditionnels du racisme antimusulman.  En cet endroit, les formes d’expressions ésotériques ou métaphysiques seront adoptés sans état d’âme.                           

Avec la montée en puissance et la normalisation de l’islamophobie le statut d’intellectuel référent voir de référence incontournable  évoluera dans un sens d’autant plus dramatique que de l’autre coté les racistes assumés rajouteront une couche à la couche.  Ce genre de marqueur historique parmi bien d’autres constituera la profondeur contextuelle hantée d’antagonismes et de rivalités dans laquelle vivront dans une  entente cordiale racistes assumés et racistes louvoyant. Il n’est donc pas scientifiquement aisé de dresser la liste des adversaires et contempteurs possibles tant que la question ne sera pas plus finement posée. Le discours zemmourien par ignorance feinte ou avérée, ne sera pas en quête de précisions sur ce registre, bien au contraire. En désignant un ennemi de la république voir même sans exagéré de la chrétiennété qui plus est de la   judaïté occupé à en saper                                      toutes références acceptables, plus l’identité de L’Islam sera vague, plus son hostilité pourra être stigmatisée et honnie aux oreilles des masses. Or, ce que retiendront les chrétiens ce sera l’image sévère et nécessairement réductrice que représentera à leurs yeux la religion musulmane.

Les raisons de cet ombrage et de cette mise en arrière-plan est que L’Islam sera mangé à toutes les  sauces faisant oublier que ce sera L’Occident qui sera l’agresseur et L’Islam la victime. Fin de citation.

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